Voyage de Pêche sur le Delta de l'Ebre en Espagne
Tél: 06 73 79 68 80 Site: http://laurent.chapeyrou.chez-alice.fr/

Dates retenues pour 2011: Octobre.

Le bar, espèce très prisée!





Le Delta de l'Ebre, riche d'une étonnante diversité...


Réaliser un voyage de pêche sur le Delta de l'Ebre, en Espagne, offre l'opportunité de toucher des tassergals et des grosses liches, ces dernières étant hahituellement capturables uniquement au large. Les liches arrivent en effet des côtes Africaines dès le mois de Mai pour frayer au Delta, s'engraissent de mulets avant de repartir vers la mi-décembre. Le tassergal est présent toute l'année, le bar est également très prisé ainsi que les petites et moyennes dodades! Cela pour ne citer que les espèces les plus nobles, car le Delta fourmille de vie...

A bord d'un petit bateau de 5 m, équipé d'un moteur thermique de 13,5 chevaux, nous rechercherons ces différentes espèces, dans le Delta et non en mer, en variant les plaisirs qu'offre la traîne, le vif et la calée, sur des postes très variés. Ma première prise de contact avec le Delta du bord à l'automne 2009 m'avait époustouflé par la richesse en poissons fourage, principalement du mulet de 300 gr à 2 kg. La curiosité avait été à son comble losqu'en parcourant les plages attenantes au Delta, j'avais trouvé les restes de demi-mulets, restes des attaques frénétiques des dorados , pensais-je. Un peu plus loin, je trouvais les mêmes restes d'attaques de grands prédateurs, les liches, car je trouvais ici et là des demi-bars de 1 à 2 kg ainsi que des restes de dorados estimés entre 2 et 4 kg! Etant alors équipé d'une canne à mouche avec de petits streamers de 5 à 8 cm, je du me rendre à l'évidence que j'étais sous-équipé!
De retour à l'automne 2010, je décidais de prospecter en bateau, indispensable pour traquer les grands prédateurs, comprendre leurs moeurs et mettre ainsi tous les atouts de mon côté avec une chance réelle de capture. Bars et petites dorades furent au rendez-vous mais les tassergals ne se manifestèrent pas. Par contre, à force de traquer les liches, je parvins à comprendre les lieux de leurs chasses et m'installait au vif sachant que tôt au tard, elles allaient chasser devant moi. J'eu la chance de voire au plus près 5 chasses individuelles de liches, de 5 à 15 kg, certaines d'entre elles ont même frôlé le bateau, pousuivant avec acharnement un mulet d'un bon kg, qui faisait des bonds désespérés de 1 mètre de haut, sur une longueur totale de 20 à 50 mètres, avant de finir dans les machoires de la liche, qui disparissait, repue! Cette expérience m'a permis de comprendre comment il fallait s'y prendre, pour retenir les mulets sous sa ligne au vif, en les amorçant, afin que la liche attaque le vif le plus fragile et non les autres, mais cela, c'est pour la prochaine fois!









Programme: à définir ultérieurement